Aujourd’hui, épisode 4 du Phocéa Rocks, avec La Rue du Rock et la soirée Sud Side.
C’est l’heure de l’apéro, on se dirige tout d’abord rue Consolat qui a
été investie pour l’occasion par différents groupes de la scène
marseillaise….très bonne ambiance et on se régale à déambuler avec notre
bière, on est dans l’esprit festival. Mais je laisse mes collègues vous
raconter tout ça.
Donc, migration vers la soirée Sud Side, on m’avait promis du rockers tatoués et un lieu hors norme….étant néo-marseillais, j’avais hâte de voir cette scène mythique de l’underground marseillais. Arrivée à la cité des arts de la rue, avec son bus qui trône à l’entrée, et découverte de l’atelier Sud Side, et là je tombe sous le charme de cet endroit incroyable et je comprends en discutant avec les habitués qu’ils ne veulent pas trop partager ce bien…..mais ce soir on ouvre les portes et on fait tous la fête ensemble! Les adeptes et non initiés arrivent tranquillement et se baladent et s’interloquent sur l’avion planté au milieu du hangar.
Pour la musique, au programme, punk, garage et rockabilly avec tout d’abord le trio Thee Atom Brain qui nous envoie une série d’uppercut, histoire de lancer la soirée sur un rythme punk. Ce jeune trio, dont le bassiste joue sa dernière partition avec le groupe, nous sort leurs tripes et nous joue leur playlist classique qui inclue entre autres Brain Machine, UFO ou speed. Donc jolie performance avec une mention spéciale au batteur qui me confie d’ailleurs que l’album devrait sortir en septembre. Petit bémol, je trouve dommage que sur scène il ne sonne pas plus garage psyché comme sur leur EP….car y’a du Thee Oh Sees chez ces jeunes gens….donc assumez !…..et je pense également que l’album devrait être une belle surprise.
Petite entracte, avant l’entrée dans l’arène de Mick Wigfall et ses Toxiques, trio improbable sur la forme (un catcheur mexicain, un métalleux et un un crooner) mais drôlement efficace sur le fond. Ces figures locales de l’underground marseillais ne sont plus à chroniquer telle leur notoriété sur scène est grande (cf toutes les critiques ditirambiques sur Concert and co). Et ce soir, ils font honneur à leur réputation et nos corps se mettent à bouger, de manière involontaire évidemment, sous les cordes de la contrebasse que Mick Wigfall claquent avec punch! Sur le contenu, le groupe enchaine compos perso comme More of that feeling et reprises qui nous donnent l’impression d’être dans un gros jukebox qui nous fait voyager dans le temps, on reconnaitra ainsi Drives me Wild de Dr Feelgood ou encore Poor Man's Prison de Gene Vincent. Le concert se termine sous les acclamations du public conquis encore une fois par ces représentants du rock’n’roll originel.
Fin du concert, et la soirée qui suit se met tranquillement en place et tout le monde va venir bouger sur cette grande piste et ceci jusque 4h du matin. Ce qui permet de mettre le point final à cette journée du Phocéa Rocks bien remplie et qui aura ravi tous les fans de culture Rock mais également, je l’espère, les profanes.
Donc, migration vers la soirée Sud Side, on m’avait promis du rockers tatoués et un lieu hors norme….étant néo-marseillais, j’avais hâte de voir cette scène mythique de l’underground marseillais. Arrivée à la cité des arts de la rue, avec son bus qui trône à l’entrée, et découverte de l’atelier Sud Side, et là je tombe sous le charme de cet endroit incroyable et je comprends en discutant avec les habitués qu’ils ne veulent pas trop partager ce bien…..mais ce soir on ouvre les portes et on fait tous la fête ensemble! Les adeptes et non initiés arrivent tranquillement et se baladent et s’interloquent sur l’avion planté au milieu du hangar.
Pour la musique, au programme, punk, garage et rockabilly avec tout d’abord le trio Thee Atom Brain qui nous envoie une série d’uppercut, histoire de lancer la soirée sur un rythme punk. Ce jeune trio, dont le bassiste joue sa dernière partition avec le groupe, nous sort leurs tripes et nous joue leur playlist classique qui inclue entre autres Brain Machine, UFO ou speed. Donc jolie performance avec une mention spéciale au batteur qui me confie d’ailleurs que l’album devrait sortir en septembre. Petit bémol, je trouve dommage que sur scène il ne sonne pas plus garage psyché comme sur leur EP….car y’a du Thee Oh Sees chez ces jeunes gens….donc assumez !…..et je pense également que l’album devrait être une belle surprise.
Petite entracte, avant l’entrée dans l’arène de Mick Wigfall et ses Toxiques, trio improbable sur la forme (un catcheur mexicain, un métalleux et un un crooner) mais drôlement efficace sur le fond. Ces figures locales de l’underground marseillais ne sont plus à chroniquer telle leur notoriété sur scène est grande (cf toutes les critiques ditirambiques sur Concert and co). Et ce soir, ils font honneur à leur réputation et nos corps se mettent à bouger, de manière involontaire évidemment, sous les cordes de la contrebasse que Mick Wigfall claquent avec punch! Sur le contenu, le groupe enchaine compos perso comme More of that feeling et reprises qui nous donnent l’impression d’être dans un gros jukebox qui nous fait voyager dans le temps, on reconnaitra ainsi Drives me Wild de Dr Feelgood ou encore Poor Man's Prison de Gene Vincent. Le concert se termine sous les acclamations du public conquis encore une fois par ces représentants du rock’n’roll originel.
Fin du concert, et la soirée qui suit se met tranquillement en place et tout le monde va venir bouger sur cette grande piste et ceci jusque 4h du matin. Ce qui permet de mettre le point final à cette journée du Phocéa Rocks bien remplie et qui aura ravi tous les fans de culture Rock mais également, je l’espère, les profanes.
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